Ma femme n’étant ni une “geekette” et encore moins une “NERDette”, je me suis donc payé une séance de cinéma seul. Et je ne regrette pas. Je connaissais une bonne partie de l’histoire de la création de Facebook et j’en ai découvert d’autres facettes en visionnant “The social network”.
En premier lieu, sur la personnalité du leader (Mark Zuckerberg) que le réalisateur nous présente un peu comme un autiste extrêmement brillant et surtout comme un passionné à outrance pour la technologie. Un attitude digne d’un hérétique comme le décrit Seth Godin dans son ouvrage “Tribus”. Une attitude que conduit Mark ZUCKERBERG à être marginalisé mais aussi qui le mène sur le chemin d’un succès basé sur un opportunisme extraordinaire.
Et là réside la seconde leçon qui ne fait pas partie du programme de marketing que j’enseigne à mes étudiants. Ici, l’innovation ne repose pas sur un business plan avec une étude de marché... Une grosse frustration avec une fille et le voilà propulsé sur le chemin de la gloire.
Troisième leçon de l’après-midi : le financement de l’entreprise. Là encore, le réalisateur met en évidence à la fois le rôle d'un business angels du départ (19’000 $) puis l’arrivée du fondateur de Napster en qualité de "Venture Capitalist". Un scénario difficile à reproduire en Europe car la culture du risque n’est pas la même que dans la Sillicon Valley.
En premier lieu, sur la personnalité du leader (Mark Zuckerberg) que le réalisateur nous présente un peu comme un autiste extrêmement brillant et surtout comme un passionné à outrance pour la technologie. Un attitude digne d’un hérétique comme le décrit Seth Godin dans son ouvrage “Tribus”. Une attitude que conduit Mark ZUCKERBERG à être marginalisé mais aussi qui le mène sur le chemin d’un succès basé sur un opportunisme extraordinaire.
Et là réside la seconde leçon qui ne fait pas partie du programme de marketing que j’enseigne à mes étudiants. Ici, l’innovation ne repose pas sur un business plan avec une étude de marché... Une grosse frustration avec une fille et le voilà propulsé sur le chemin de la gloire.
Troisième leçon de l’après-midi : le financement de l’entreprise. Là encore, le réalisateur met en évidence à la fois le rôle d'un business angels du départ (19’000 $) puis l’arrivée du fondateur de Napster en qualité de "Venture Capitalist". Un scénario difficile à reproduire en Europe car la culture du risque n’est pas la même que dans la Sillicon Valley.
Pour en savoir plus ; http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=147912.htmlUn film que je conseille à tous mes étudiants pour leur donner l’envie de créer, d’oser avant qu’ils soient couverts de charges de famille. Un film qui leur apprendra ce que ne suis pas autorisé à leur raconter dans mes cours.Mais attention, il vaut mieux avoir un peu de pratique des réseaux sociaux, un minimum de connaissance du monde internet, si possible comprendre quelques termes de finances et avoir si possible été exposé à la culture universitaire américaine.
Bref, j’ai aimé et je suggère que ce film soit intégré dans les cours d’entrepreneurship de nos universités suisses ou françaises.
Jean-Claude MORAND – 25/10/10
Entièrement d'accord.
RépondreSupprimerLe film montre aussi comment fonctionnent les grandes universités américaines comme Harvard ou Boston University avec ses "chapelles" par bâtiment etc. La séquence avec le proviseur de Harvard est plus que véridique !
JJB